bonjour
j’ai posé 2 calorimètres pour 2 appartements identiques 90 m2 pour une chaudière au fioul.
je relève les compteurs 5,18MWH et 8,4MWH puis je convertir directement en litres de fioul? et comment?
avec tous mes remerciements
bonjour
j’ai posé 2 calorimètres pour 2 appartements identiques 90 m2 pour une chaudière au fioul.
je relève les compteurs 5,18MWH et 8,4MWH puis je convertir directement en litres de fioul? et comment?
avec tous mes remerciements
Bonjour Geneviève,
Effectivement il y a un lien direct entre les MWh et le volume de fioul consommé. En théorie une chaudière génère à peu près 10,4kWh par litre de fioul. En pratique la vétusté et donc le rendement de la chaudière fait varier ce ratio.
Mais à l’instant « t » si vous retenez ce ratio théorique, il s’applique de façon égale aux deux appartements. Sachant que 1MwH = 1000 KWh, vous obtenez dans votre cas : 5,18 x 1000 / 10,4 = 498 l de fioul pour l’un et 8,4 x 1000 / 10,4 = 808 l
Pour être plus précis quant au ratio de 10,4, il faudrait recouper ces résultats avec la consommation mesurée dans la cuve de fioul.
Merci de votre fidélité
Bonjour,
Après avoir reçu les charges de chauffage pour 2015 relatives à mon logement, je me suis adressé à la société Ista-Azuréenne, chargée de la gestion des répartiteurs, car je trouvais le montant demandé excessif.
Cette société m’a répondu le 1er avril en me fournissant un tableau indiquant pour chacun des quatre radiateurs installés: la pièce où ils étaient installés, leur numéro, la valeur relevée? pour l’année 2015 ainsi que le coefficient propre à chacun des radiateurs. Les unités de chauffage transmises au syndic résultant de la somme des produits des valeurs de l’année 2015 par le coefficient de chacun des radiateurs.
En examinant ces valeurs je me suis aperçu de certaines anomalies et plus particulièrement pour le radiateur du séjour, dont la consommation représentait 80% de la consommation totale annuelle bien qu’il soit demeuré fermé pendant onze mois sur douze car je n’habite ce logement que très occasionnellement.
De manière à clarifier la situation j’ai fait parvenir le 1er avril à Ista-Azuréenne un tableau avec les valeurs relevées sur chaque répartiteur au 31.12.14 et au 31.12.15 et sauf erreur de ma part je n’ai reçu à ce jour aucune réponse de leur part.
Je pense qu’après 50 jours d’attente une réponse de leur part me paraît plus que justifiée.
Cordialement
Bonjour Angel,
Nous venons de transmettre votre demande à la direction technique d’ista qui va instruire votre réclamation et prendre contact directement avec vous dans les meilleurs délais.
Merci de votre fidélité
Bonjour,
Avec la pose des RFC, quid des radiateurs mixtes (salles de bain, entre autres), alimentés par le chauffage central collectif d’un immeuble, d’une part, et susceptibles d’être également chauffés électriquement (donc sur consommation électrique individuelle), pendant les périodes d’arrêt du chauffage collectif…? Si les RFC travaillent par comparaison entre deux relevés, on se trouve alors en présence d’une double facturation.
Comment ces cas sont-ils prévus et traités…?
Merci
Bonjour,
J’appartient au conseil syndical d’une copropriété de 250 logements dans laquelle Ista a installé des répartiteurs doprimo III sur tous les radiateurs. J’aurais 2 questions :
Parmis nos copropriétaires, certains souffrent du syndrome d’intolérance aux champs électro-magnétiques et sont donc extrèmement vigilants sur les emissions RF dans leur logement. L’une d’elle a mesuré des pointes d’emission (très faible certes) mais régulières toutes les 30 secondes sur chacun des répartiteur. Je tiens à la rassurer car pour moi ces emissions sont certainement la conséquence d’une décharge electrique dans un composant du répartiteur ou d’un bip de communication de faible intensité pour le report radio de la mesure. Toutefois l’examen du rapport LNE de cet appareil parle d’une mesure toutes les 4 minutes… Pouvez vous me donner une réponse technique ou me mettre en relation avec une personne capable de le faire?
Ensuite, en lisant les commentaires précédents une personne disait qu’une serviette couvrant le répartiteur pouvait fausser les mesures. Vous avez répondu par rapport à la température et humidité de la pièce mais la vraie question est : puisque le capteur d’ambiance est compris dans le corps du répartiteur et puisque la mesure « d’energie » est réalisée par soustraction de cette température ambiante de celle du radiateur, le fait de couvrir le répartiteur n’ammène t’il une température ambiante surévaluée et par conséquence une consommation minorée?
Je vous remercie par avance pour votre réponse rapide.
Salutations
Bonjour
Me confirmez vous que les immeubles à chauffage collectif ( chaudière Wiessmann Vitoplex ) fonctionnant à la vapeur sont exemptés de l,installation de répartiteurs?
Merci
Bonjour Georges,
L’individualisation des charges de chauffage a été règlementée par différents décrets et arrêtés, depuis la première obligation en 1974 résultant de la Loi 74-908, en passant par le décret du 30 septembre 1991 et son arrêté, puis le décret 2012-545 et son arrêté.
Les impossibilités techniques précisées par les arrêtés ont évolué au fil des années, en général avec un décalage par rapport aux évolutions techniques des systèmes de chauffage.
En 1991, l’arrêté mentionnant une exemption pour les systèmes de chauffage à la vapeur faisait référence à des vieux systèmes où la chaudière produisait une vapeur à très haute température, qui arrivait dans les radiateurs en fonte à 120°C.
Ce type d’installation, a par la suite été jugée dangereuse et abandonnée. ET effectivement il n’était pas possible d’installer des répartiteurs sur des radiateurs brulants.
Les chaudières plus récentes à fluide caloriporteur « vapeur » (notamment la Wiessmann Vitoplex) sont désormais équipée d’échangeur thermique qui abaisse la température de départ à 80°C (comme les chaudière à eau chaude) et qui sont compatibles avec les radiateurs modernes dont la température du corps de chauffe est réduite aux environ de 50°C.
Avec de telles installations, il n’y a aucun problème pour installer des RFC électroniques.
L’arrêté toujours en vigueur à ce jour (pour quelques semaines encore puisque le décret 2012-545 est sur le point de devenir obsolète en étant remplacé par un nouveau décret actuellement « à la signature » du Ministre de l’Energie) n’a pas encore évolué avec la technologie. Il fait donc toujours référence à cette exemption technique concernant les anciens systèmes à vapeur.
NOTA : le nouveau décret « à la signature » du Ministre supprime toute notion de seuil de consommation, toute notion de date de Permis de Construire. Bref, il généralise l’obligation de l’individualisation à tout immeuble collectif chauffé collectivement…..sauf quelques impossibilités techniques.
Merci de l’intérêt que vous portez à istablog
Monsieur bonjour,
Que vous écriviez sous l’étiquette « bastien », « Chareire » ou « dijon-28 » nous vous avons indiqué que votre question avait été prise en compte et qu’un expert prendrait contact avec vous.
Dans cette attente, vous trouverez ci dessous une réponse plus générique.
« Vous voulez savoir quelle est l’exposition aux ondes radio chez vous ? Vous voulez vérifier que cette exposition est bien inférieure aux seuils de l’OMS ? Vous pouvez faire mesurer gratuitement l’exposition aux ondes radio dans votre lieu de vie.
Faire mesurer son exposition aux ondes radio chez soi.
Cette mesure est une opération qui nécessite plusieurs équipements techniques et qui doit obéir à des règles très précises, élaborées par l’Agence Nationale des Fréquences (ANFR). Elle est effectuée par des organismes qui doivent être indépendants et accrédités par le COFRAC (Comité Français d’Accréditation), conformément au décret n°2006-61.
Le nouveau dispositif, dorénavant géré par l’Etat, permet à tout particulier de faire mesurer gratuitement l’exposition aux ondes radio à son domicile.
Les résultats de la mesure sont envoyés au demandeur, au maire, à l’ANSES et à l’ANFR. L’ANFR met ces résultats en ligne sur son site web http://www.cartoradio.fr. »
Concernant la mesure des températures par les deux capteurs du RFC, la réponse déjà faite à un autre internaute reste inchangée. Le microprocesseur du RFC est programmé pour établir la température ambiante au coeur de la pièce à partir de la mesure faite par la sonde ad hoc située au coeur du répartiteur.
Par ailleurs si les répartiteurs sont étanches à l’humidité d’une salle de bain, il est rappelé qu’ils ne sont pas prévus pour être aspergés d’eau ou recouvert par un ruissellement issu d’un linge imbibé d’eau. Un minimum de bon sens est toujours requis !
Merci encore de votre très vif intérêt pour votre blog
l’équipe istablog
Bonjour,
Les radiateurs mixtes de salle de bain constituent une particularité qui exige un régime spécifique : nous prenons les références, les dimensions de ces radiateurs (dont la puissance est en général inférieure à 1000 W) de façon à prendre en compte leur puissance réelle. Aucun RFC n’est installé sur ces radiateurs mixtes, par contre nous procédons à une estimation équitable et comparative de la consommation, par référence soit aux autres radiateurs de même type installés dans la copropriété, soit des bases de données locales plus importantes.
Cette estimation ne porte évidemment que sur les jours de la période de chauffe.
Pour le reste de l’année, la consommation électrique vous est facturée directement par votre fournisseur d’électricité.
Ce type de radiateur étant en général uniques dans chaque appartement, et leur puissance relativement modérée, l’estimation n’impacte que peu le bilan final.
Merci de votre fidélité
Bonjour,
J’ai été locataire d’un appartement du 01/10/2013 au 30/09/2014 (date à laquelle j’ai effectué une rupture de bail). Lors de mon départ, l’agence immobilière (qui est aussi syndic) m’a donné une relevé ISTA dans lequel figure les consommations de tous les appartements.
Le mien dernier étage : 21620.342 soit 2005.33€
En face dernier étage : 32641.530 soit 3027.56€
Au milieu gauche : 1951.944 soit 181.05€
Au milieu droite : 7218.173 soit 669.50€
Je précise qu’en face ma voisine est seule, en bas celui de gauche est resté vide presque toute l’année et pour l’autre je n’ai jamais vu les locataires. La voisine au RDC m’a dit qu’elle ne reglait que les charges tous les mois, le reste est à la charge du propriétaire (qui est different).
Lorsque je suis parti, l’agence a encaissé mon chèque de caution pour regler une partie de la facture et me réclame le reste (je paie 50€ par mois).
Mais je reste perplexe sur la consommation (que je n’ai jamais eu en 10 ans de location!) pour un appartement de 70m² avec 6 répartiteurs dans lequel je chauffais uniquement le salon, la salle de bain et ma chambre. Je ne chauffais pas le bureau ni la chambre de mon fils que j’avais 1 fois par mois.
Je précise aussi que les répartiteurs sur les radiateurs (en fonte) n’affichaient que la température pour certains et d’autres rien du tout.
J’étais aussi obligé de monter les radiateurs à 4 ou 5 pour qu’ils chauffent!
Pour l’eau c’était pire, mon amie et moi avions du mal à prendre nos douches le même jour car l’un de nous deux n’allait pas avoir d’eau chaude mais tiède.
J’ai fais mon enquête auprès des voisins, ceux du dessous m’ont dit qu’il les mettaient à 1 ou 2 pour chauffer car ils chauffaient bien.
Lorsque j’en ai parlé à l’agence, celle ci m’a dit qu’ils avaient fait intervenir des techniciens pour la chaudière qui est vieille et chauffe tout l’immeuble…. mais que les réparations allaient coûter trop chères donc… pas de réparation.
Bref, j’ai souhaité bonne chance aux locataires qui entraient et ceux qui n’avaient pas encore eu leur facture annuelle!
Alan bonjour et merci de votre commentaire qui appelle plusieurs remarques susceptibles de mettre l’accent sur les fondamentaux de la gestion des charges de chauffage et d’ECS.
1. Vous évoquez une « très vieille chaudière collective » apparemment à bout de souffle, qui alimente d’une part le réseau de chauffage et donc les radiateurs, et d’autre part l’ECS. Nos différents articles sur les mesures à prendre pour réduire les consommations ont à de nombreuses reprises, insisté sur le fait que le rendement d’une vieille chaudière pouvait être de 20 à 30% inférieur à une performance normale, que un réseau non équilibré régulièrement et surtout non désemboué (c’est souvent le cas avec des chaudières peu ou mal entretenues) engendrait d’importantes surconsommations de chauffage (+ 10 à + 20%).
Il est donc plus que probable que la seule modernisation de la chaudière de cette copropriété permettrait une très significative économie sur la facture globale de l’immeuble.
2. Une très vieille chaudière est la marque d’un immeuble qui n’a pas bénéficié d’une rénovation énergétique. Il est donc très probable que l’isolation des façades de l’immeuble, des parois vitrées et de la toiture soient quasi inexistante ou très peu performante. Le montant que vous évoquez (2005 €) pour un 70 m2 le confirme puisque cela correspond à environ 220 à 250 kWh/m2 (immeuble des années 1970).
Une rénovation énergétique permettrait de diviser cette consommation par deux, voire par trois selon le niveau de rénovation.
3. Il n’est pas anormal que l’ECS mette du temps à se réchauffer avec une telle vieille chaudière. Le rendement est médiocre et cela engendre en outre des sur-consommations d’eau.
4. La réglementation sur l’individualisation des charges de chauffage a prévu que dans des immeubles mal isolés (ancien non rénové), des déperditions importantes soient constatées. Celles ci n’étant pas « régulables » par chacun, elles sont associées à des consommations de « parties communes ». Le législateur a ainsi prévu que dans de tels immeubles, 30% des charges de chaleur ne seraient pas réparties au prorata des consommations individuelles mais aux « tantièmes ». Ces 30% sont donc inéquitables et le gaspillage éventuel de vos voisins, ou les déperditions du vieux système de chauffage rejaillissent sur vous, même si vous fermer une partie de vos radiateurs.
pour toutes ces raisons, il est effectivement important de se renseigner sur l’état du système de chauffage et sur le niveau d’isolation de l’immeuble dans lequel vous envisager de devenir locataire.
Vous avez donc parfaitement raison d’alerter vos successeurs.
Merci de vos remarques et de votre fidélité
Bonjour,
Je vous ai envoyé un message le 20 mai dernier que vous avez communiqué à la Direction Technique de Ista-Azuréenne.
Le 24 mai à 8h47 j’ai reçu un courriel de leur part me demandant des renseignements concernant les répartiteurs de chauffage : lieu d’installation, nom de l’immeuble, n° de lot et n° de téléphone.
J’ai répondu à ce courriel le même jour à 10h54 en y joignant les documents que je leur avais déjà fait parvenir par courriel le 1er avril.
A ce jour – le 66ème – depuis mon premier courriel, je suis toujours sans réponse à ma demande.
Est-ce donc si compliqué de retrouver les indices des répartiteurs au 31.12.2014 et dont la différence par rapport à ceux du 31.12.2015 leur a permis de définir mes consommations de chauffage pour l’année 2015?
Je vous remercie d’insister auprès de la DT pour qu’une réponse me soit enfin donnée
Je tenais également à vous signaler que sur trois de mes radiateurs qui étaient restés fermés (sur l’arrivée et le retour d’eau) j’ai relevé des augmentations des indices de consommation de 16,18 et 8 unités entre le 5 janvier et le 26 mars 2016.
Cordialement
Bonjour Angel,
Afin de pouvoir traiter votre demande plus rapidement, merci de nous indiquer par retour, votre adresse exacte. Merci.
Nous transmettons immédiatement à la Direction technique qui examine votre dossier en relation avec l’agence de votre secteur.
Bonjour,
L’adresse où se situent les répartiteurs est la suivante:
137 Cours du Centenaire. 06500 Menton
Cordialement
Merci : contact direct en cours.
Bonjour :
De ce ce qui suit , on pourrait croire que les RFC à 2 sondes permettent de mesurer les calories consommés .
cf votre texte en tête de blog
La loi 74-908 sur l’individualisation des frais de chauffage, stipule que « tout immeuble collectif, chauffé collectivement, doit individualiser le comptage des frais de chauffage ». C’est une mesure d’équité. Concrètement cela signifie que dans chaque appartement, sur chaque radiateur un compteur de calories, encore appelé « Répartiteur de Frais de Chauffage » ou RFC doit être installé.
Les RFC sont des équipements électroniques soumis à des normes européennes, qui sont équipés de deux sondes de température. L’une mesure la température ambiante de la pièce, l’autre mesure la température du corps de chauffe du radiateur. Ces mesures se font en continue tout au long de la période de chauffe. Un microprocesseur inclus dans le RFC intègre ces données et calcule automatiquement les calories consommées par le radiateur dès lors que la température de son corps de chauffe dépasse 23°c. Pour que la mesure soit précise, les règles de l’art déterminent la zone de fixation précise du Répartiteur de frais de Chaleur, pour chaque type de radiateur.
Votre équipement va donc bien au delà de ce que dit la norme NF EN 834 page 10/37:
« Les répartiteurs de frais de chauffage ne permettant de déterminer la consommation de chaleur particulière de chaque corps de chauffe dans une unité d’utilisation qu’en tant que part de la consommation totale de chaleur de l’unité de calcul de frais ou du groupe d’usagers (voir Article 4), il est donc nécessaire de déterminer cette consommation totale de chaleur en mesurant soit la quantité de combustible consommée ou la quantité de chaleur fournie (cette dernière mesure s’effectuant au moyen d’un compteur de chaleur, par exemple).
Merci bien vouloir m’expliquer cette apparente différence
En relisant la citation que vous évoquez, la formulation « ….un microprocesseur inclus dans le RFC intègre ces données et calcule automatiquement les calories consommées par le radiateur…. » était insuffisamment précise. En effet, comme vous l’avez compris, la valeur calculée par le microprocesseur doit d’abord être rapportée à la valeur totale de la résidence pour pouvoir en déduire la consommation de calorie de chaque radiateur. Les RFC ne sont pas des « compteurs » (comme l’est un compteur d’eau), et à ce titre sont donc strictement conformes (ni plus ni moins) à la norme NF EN 834.
Merci de votre remarque et de votre fidélité
Merci pour votre réponse du 1er septembre 2016 à mon commentaire du 30 août. Je suis donc fondé à poser une question : comment calculer avec précision et équité la consommation de chaque local ( ce que demande la loi ) quand l’incertitude sur la quantité de chaleur totale consommée est importante.
Je dis cela car dans ma résidence qui reste à équiper , les pertes en sous sol du circuit chauffage sont inconnues , ainsi que la consommation de chaleur pour l’eau chaude ( chaudière commune ).
une erreur de 10% ou plus sur la chaleur totale affectée au chauffage est à craindre , sauf si on introduit des compteurs de chaleur sur le circuit chauffage , qu’en pensez vous ?
Salutations
Bonjour Jean Loup,
Comme souvent, tout est question de bon sens, et vous l’avez bien compris. Une réglementation existante, quelle qu’elle soit, n’a pas pour but de remettre droit ce qui ne l’est pas, ni d’isoler les immeubles qui ne le sont pas, ni de traquer les fuites quiu existent….Non une réglementation a pour but de contraindre les « usagers » à se pencher sur leur problème pour se mettre en conformité avec « l’exigence minimal requise ».
Dans le cas que vous évoquez, il est certain que si votre immeuble est une passoire thermique, si votre chaudière est peu performante et que vous en ignorez le ration d’efficience, si vos canalisations de chauffage ne sont pas isolées et que des courants d’air ou ponts thermiques les refroidissent avant même qu’elles arrivent aux appartements…..alors votre copropriété a un tas de problème à régler dont l’installation des RFC. Mais l’installation seule des RFC ne réglera pas ces problèmes.
Donc le bon sens de votre conseil syndical doit se mettre en action, et faire installer les équipements et calorifugeage qui permettront de considérez que la quantité de chaleur qui est envoyée dans les appartements est maîtrisée de façon fiable.
Merci de votre bon sens….